L'atelier court  "Connaissance et Compréhension des Cultures" s'est tenu en salle 19 le mercredi 21 juillet à 16h 30. Il a réuni 14 participants représentant 4 continents (Afrique, Amérique, Europe et Asie) mais Liudmila couvrait 2 continents à elle-seule ! // Il y avait 1 Comorien, 2 Marocaines, 5 Brésiliennes, 2 Espagnols, 2 Français (dont l'animateur Casimir), 1 Roumaine, 1 Russe...

Dans le cadre du travail d’organisation de la RIDEF 2010 et notamment de l’exposition au musée des Beaux-arts de Nantes, j'ai effectué des recherche sur le thème de Picasso et les dessins de Pitoa (école de Roger Lagrave, Cameroun). Un texte de Michel Barré extrait de son livre sur Célestin Freinet évoque Picasso.

On peut venir un donner un coup de main, boire, manger, le bar de la RIDEF accueille de 11h30 à 0h30. C'est un super lieu de rencontre, un endroit carrefour où, aujourd'hui, les ridéfiens échangeaient sur les ateliers longs où ils ont passé la matinée.

Nombre d'élèves et d'enseignants passent un temps considérable à apprendre l'orthographe française. Beaucoup de règles relèvent malheureusement de la schizophrénie et de la difficulté gratuite résultant de la paresse d'un moine copiste du 13e siècle ou de la fantaisie débridée d'un linguiste du 19e.

En 1957, dans ce musée, Célestin et Élise Freinet inauguraient la maison de l'Enfant dans laquelle se trouvait une très grande exposition de plus de 100 dessins d'enfants.
C'est à cette occasion que fut donnée au musée une série de dessins que vous avez vus.
Le MBA de Nantes, pour s'associer à la 28e RIDEF, a décidé de faire une exposition-dossier permettant de lier Chaissac-Dubuffet et Freinet,

L'atelier "à partir de zéro" fabrique (entre autres) des limographes et lance un appel.

En effet, on trouve difficilement de l'encre compatible avec cette technique.

Si tu connais une source permettant d'alimenter les utilisateurs de limographe, merci de le faire savoir.

Le Ciné Freinet a commencé mercredi soir son activité avec la projection du film "Le mouvement Freinet".

Film documentaire en français de 52 minutes réalisé en 1996 par Henri Portier.

Ce film a été conçu et réalisé à l'occasion du Centenaire de Célestin Freinet et des 70 ans du Mouvement Freinet.

Il en retrace les grands moments, à partir des éléments de la mémoire cinématographique retrouvée et conservée.